OBSERVATION A MONTPELLIER

Nous pensons que cette observation est très étonnante. Par la forme de l’engin, puis de l’observation d’un dôme lumineux avec chute de cheveux d’ange.

Les séquelles de cette observation rapprochée sur la santé du témoin sont peu courantes.

Enfin la visite chez le témoin des années plus tard de 6 hommes en noir…

 

Observation faite par Mr. Delmas à proximité du village d’ Assas proche de Montpellier France.

La date reste imprécise ; environ 1954 ou 1955… Mois de mai…(Je pense 1954 lors de la « vague française »)

Monieur Delmas vit à Montpellier. Il travaille à la SNCF.(Compagnie nationale des chemins de fer)

Un vendredi soir Monsieur Delmas souhaite quitter la ville et aller passer le week-end dans son cabanon d’Assas (A l’époque Assas est encore loin dans la campagne. Maintenant c’est une zone de lotissements)

Il part à vélo, et il se met à pleuvoir.

Arrivé à Assas Monsieur Delmas prépare le repas et projette d’aller chercher des escargots à la nuit tombée.

La nuit venue, après le repas, il prend une lampe torche et part dans une petite vallée où il sait pouvoir trouver les gastéropodes.

Il marche en regardant vers le sol à la recherche de son « gibier ».

A un moment le faisceau de la lampe rencontre la base pointue d’un cône noir. Le témoin décrit un métal noir mat ; qui ne reflète pas la lumière de sa torche. Il a une hauteur de 2 à 3 mètres. Un diamètre de 2 à 3 mètres. Il est très approximatif pour celui-ci.

Surpris il recule de quelques pas et dirige le faisceau de la torche vers le sommet de l’engin….(Il était donc, avant de reculer, sous le sommet du cône)

Immédiatement un faisceau de lumière blanche s’allume et vient toucher Monsieur Delmas. Il situe l’origine du faisceau très fin vers le haut de l’objet. (Le bord supérieur)

La rapidité de « réaction » du cône, l’intensité de la lumière, impressionnent Mr. Delmas. Mais plus encore il ne peut plus bouger….

Alors il pense que son instituteur d’école primaire, a dit en classe « Si vous pouvez réfléchir, votre cerveau fonctionne, il peut donc actionner les muscles ». Au prix d’un long effort qui mobilise toute son énergie, il parvient à bouger l’index droit et éteindre la lampe. Aussitôt le faisceau venant du cône s’éteint . Ebloui par la lumière, le témoin recule lentement. Lorsqu’il peut voir à nouveau, le cône est parti.

Le témoin estime la durée de son effort de 2 à 5 minutes.

Pas mal secoué, Mr.Delmas décide de rentrer se coucher. Il prend le chemin du retour. Au sommet du pré où il setrouvait, il découvre , un gigantesque dôme… de lumière. La lumière « éclaire » l’intérieur du dôme pas vers l’extérieur. Mr Delmas ne parvient pas a estimer la taille de ce gigantesque dôme..Peut-être 100 ou 200 mètres de rayon. (Ce qui est énorme ; un diamètre de 200 à 400 mètres.)

A l’intérieur de ce dôme lumineux de couleur jaune et blanche, il y a cinq cônes noir, identiques à celui que le témoin a observé un peu plus tôt. Une sorte de bras articulé relie les cônes entre eux. (A la question ; pourquoi ces bras vous semblaient articulés ; il répond ; « ils semblaient bouger)

En ces années 1950, la guerre froide est présente dans tous les esprits. Le témoin est certain que ce qu’il voit est une arme nouvelle testée au dessus d’ une campagne éloignée.

Il décide d’entrer dans ce dôme lumineux…Supposant qu’il court peut-être un risque, il écrit brièvement ce qu’il voit et il accroche le papier dans l’écorce d’un pin parasol. (Il a sur lui du papier et un crayon noir)

Il tente ensuite de pénétrer dans l’espace délimité par la lumière, mais est violemment rejetté. Il essaie une seconde fois, de nouveau il est expulsé. Il perçoit dans « sa tête » un message qui lui ordonne de ne plus essayer d’entrer dans le dôme de lumière car « vous n’êtes pas assez évolué, pas prêt » !

Plus tard, des cônes, tombent « comme des bandes magnétiques de cassettes audio »….

Puis tout s’arrête. Comme «  on éteint une lampe ».

Le témoin ne peut pas estimer le temps de l’observation ; « de cinq minutes à une demi heure. Je ne sais pas ».

Mr. Delmas rentre se coucher. Il est très fatigué. Le lendemain il reçoit des copains du village, ils boivent l’apéritif, il raconte son « aventure » .
Soudain un de ses amis crie : »Regardez le chien ».

Pour aller aux escargots Mr Delmas est sorti avec son chien un bâtard croisé cocker.
Le chien qui évoluait normalement devant le cabanon campagnard,est devenu immobile, ses chairs sont devenues bleues, elles tombaient… « Comme des mottes de terre que l’on effrite. On ne pouvait pas distinguer les chairs, les os, les viscères. Tout était bleu foncé ».

Le chien s’est désintégré.. Monsieur Delmas qui était certain qu’il avait vu une arme secréte, se pose des questions. Il a supposé que, lorsqu’il a voulu entrer dans le dôme, qu’il a été rejetté, son chien a pu éventuellement y entrer. Et sa triste mort serait due à la conséquence d’une sorte d’irradiation.

Le week-end fini, Monsieur Delmas reprend le travail. Il est fatigué, il a des douleurs diffuses dans tout le corps… Après quelques semaines, il se rend compte que lorsqu’il s’assoit sur la banquette d’un compartiment de wagon, les personnes qui sont assisent sur le siège derrière lui changent de place.

Six à huit mois après sa rencontre nocturne, il a ce qu’il nomme la première crise.

Pour décrire ses crises, il explique « On dirait une activité électrique vers le cœur qui monte au dessus du bras vers le côté gauche du crâne puis ma tête semble bouilloner. Après j’ais une violente céphalée ». Ces crises successives le fatiguent de plus en plus.

Le témoin a une réaction de replis sur soi. Il est malheureux de souffrir quasi tous les jours, et ne comprend pas ses crises qui reviennent sans qu’il puisse déterminer une séquence de temps ou un facteur déclenchant. Il refuse d’expliquer l’origine de son mal aux médecins qu’il consulte.

7 ou 8 ans plus tard en hiver, cinq ou six hommes se présentent à son domicile. Ils sont vêtu de noir, portent un manteau et des chapeaux. Ils se présentent comme des envoyés de l’ONU. Ils souhaitent discuter avec lui de l’incident qui est survenu quelques années plus tôt.

Cela le surpend beaucoup car il n’a parlé à personne de son observation.

Pour le convaincre un des hommes spécifie « Ne craignez rien, je suis le médecin personnel du roi Hassan II » (Devenu roi du Maroc quelques années au paravent)

Monsieur Delmas les fait entrer. Ils posent leurs cartables sur la table. « Des cartables comme les médecins » spécifie-t’il.

Celui qui s’est présenté comme le médecin personnel du Roi Hassan II sera le seul a parler en Français. Lorsqu’ils échangent entre eux les « médecins » utilisent une langue que Monsieur Delmas suppose être de l’Anglais.

Ils procèdent à un électrocardiogramme, à une prise de tension et vérifient les réflexes des genoux, des chevilles, des coudes. (Je suis très sceptique sur un appareil portable à faire des ECG en 1963 env.)
Le témoin est presque heureux, il imagine que ces « médecins » vont lui dire qu’elle est l’origine de ses douleurs et de ses « crises », puisqu’ils viennent de l’ONU et donc savent de quelle arme secrète il s’agit, donc le remède.

Depuis qu’il a fait sa rencontre avec « l’arme secrète » il vit avec ses douleurs et ses crises qui l’handicapent beaucoup, tant physiquement que moralement.

Puis il lui est demandé de raconter ce qu’il a vu. Il conclu en demandant qu’elle était cette arme secrète. La réponse du médecin d’Hassan II tombe comme un couperet. « Ce n’était pas une arme secrète de fabrication humaine ».

Les hommes referment les cartables, saluent Monsier Delmas, s’en vont et le laisse totalement désemparé.

Les années qui suivent seront rythmées par les séquelles de la rencontre nocturne, jusqu’à ce qu’il soit déclaré invalide suite aux nombreux congés maladie qu’il devra prendre.

Très étrangement il sembe détaché de tout, pas une seule fois il ne parlera de son épouse, ni de sa fille. J’ai pu la rencontrer a son domicile. Elle avait une vie insouciante de jeune femme.

Ce témoignage semble inédit puisque Monsieur Delmas ne voulait pas en parler, humilié par son handicap.

DISCUSSION.

Grâce à un ami (aujourd’hui décédé ; J.Maniez),j’ai rencontré le témoin. Je lui accorde une totale confiance. Il est difficile de croire que la tristesse, le dénuement dans lequel il vivait presque à l’écart du monde soit factice, créé pour impressionner le monde ufologique. D’ailleurs Monsieur Delmas ne souhaitait pas que son « histoire «  soit racontée.

Cette rencontre pose quelques questions.

Le cône ne détecte pas la présence du témoin. L’engin réagit lorsque le faisceau lumineux est orienté vers son sommet. Lorsqu’il éclairait la base il n’y a eut aucune réaction.

Le témoin n’a perçu aucun déplacement ; souffle d’air, bruit ou autre quand il a éteint sa torche et ensuite constaté que le cône était parti.

Le cône ne perçoit pas l’approche du témoin. Il n’a peut-être pas de protection comme le dôme en possède. Si entrer dans le dôme semble comporter des dangers très graves, la mort du chien pourrait en être la preuve, approcher du cône ne devait comporter aucun risque. En admentant que les séquelles vécues par Monsieur Delmas soient la conséquence de sa tentative de franchir la « paroi » de lumière.

Un détail étonnant ; les bras semblaient bouger… Il y avait-il un transfert de quelques matières ou énergie entre les engins ?

Le dôme de lumière possédait « une protection » qui empêchait le témoin de pénétrer dans son périmètre. Etait-elle permanente ou s’est-elle activée lors de la tentative d’y pénétrer. Pourquoi était-il dangereux de franchir cette « barrière » de lumière ???? Pourquoi interdire d’y pénétrer ???

Les filaments « comme des bandes magnétiques de cassette audio » font penser aux cheveux d’ange….Qu’était-ce ??? Pourquoi cette nécessité de « faire une vidange » avant de disparaître ?? Fallait-il que chaque engin se « vide »simultanément, de quelque chose, pour disparaître ? En fait partir.

Détail, peut-être important, le dôme de lumière se situait au dessus d’un endroit qui servait de décharge municipale. Les « bandes magnétiques » ont été recouvertes le lundi par les déchets du week-end…

Qui étaient réellement les « médecins » venus voir le témoin près de 8 ans après son observation ?

Comment pouvaient-ils savoir ce qui lui était arrivé puisqu’il n’en avait pas parlé ?

Qu’est ce qui a créé ses douleurs permanentes ?

Qu’elle était l’origine de ses crises périodiques ?

Pourquoi sa santé est-elle à ce point impactée ?

Pourquoi les médecins généralistes consultés n’ont-ils pas pu identifier les maux qui affligeaient le témoin ?

La perception du temps semble avoir été altéré. Il ne peut estimer de façon précise le temps durant lequel il a observé le dôme lumineux.

 

Rencontre à l’est de Montpellier

J’ai rencontré Mr. Delmas à Montpellier en 1976.

Ce monsieur était âgé de 55 ans et en paraissait beaucoup plus. Il nous a reçus dans un modeste appartement derrière les halles Laissac.

L’ami qui m’accompagnait le connaissait. Rapidement la discussion s’est orientée vers les douleurs qu’il avait. Il souffrait régulièrement d’un mal de dos qui « grimpait » vers la base du crâne puis lui provoquait d’horribles céphalées.
Pourtant des médecins il en avait vu beaucoup. Aucun n’avait déterminé l’origine de ce mal récurrent. Toute la vie de Mr. Delmas a été affectée par ces douleurs.

Pour les expliquer, il nous raconte.

Vers 1948/49, il était à « sa campagne », et il voulait aller aux escargots après la tombée du jour. Il avait plu le matin et les petites bestioles sortiraient la nuit venue.
Il est donc parti avec une lampe torche et son chien un bâtard très guilleret.
Il cheminait dans une petite combe à 300 mètres du village lorsqu’il est arrivé presque sous un cône posé sur la partie pointue.

Il décrit un cône noir mat immobile, haut de 3 mètre au maximum, , il ne peut préciser le diamètre supérieur. Entre 3 et 5 mètres, puisqu’il était quasiment dessous lorsqu’il s’est rendu compte de cette présence.
Influencé par la presse qui parlait d’engins de guerre nouveaux, de menaces de l’URSS, etc…, il a pensé à un nouvel avion russe ou américain qui effectuerait un essai secret. Il a braqué sa lampe sur le cône. A ce moment un faisceau de lumière est venu le frapper et l’a paralysé.

Mr.Dumas était inquiet. Mais il se souvient des cours de son instituteur qui lui avait dit que le cerveau commandait tous les muscles. Il pense  ; si je réfléchit, je peux aussi ordonner a mon cerveau d’éteindre la lampe. Au prix d’un effort intense, il parvient à bouger le doigt sur 1 à 2 cm pour éteindre la torche. Le faisceau de l’engin noir s’éteint aussi tôt, la paralysie disparait. Le temps que Mr.Dumas bouge les pieds et les bras, l’engin, en silence s’élève dans les airs et s’en va. Lire la suite