ABDUCTION & RENCONTRE….

 

 

POUR COMPRENDRE TOUT LE QUESTIONNEMENT DE CE TEXTE, S’IL VOUS PLAIT IL EST IMPERATIF DE LIRE L’ENQUETE DE OVNI 77.

Je viens de lire un compte rendu concernant l’incident de Fontenay-Trésigny de 1997.

Voici le lien ;

http://ovni77.xooit.fr/t88-Fontenay-Tresigny-5-juin-1997.htm

Dans ce compte rendu, j’ai été « interrogé » par la relation particulière qui s’est créée entre le témoin, et un des « kidnappeurs ».

Pour comprendre ce texte il est impératif de lire l’enquête de JL Lagneau.

J’extrais quelques passages du texte.

« Je veux rentrer chez moi, j’ai la jambe engourdie, j’en ai marre. Je regarde autour de moi, je le vois bien, il me regarde, je suis en colère après lui.

 

« Pourtant, il est gentil avec moi, il aurait pu m’aider… »

« ….je suis devant la porte, mais j’hésite à rentrer, je suis triste, je pense à lui parce qu’il est triste, il m’appelle, il ne veut pas que je parte, je ne peux pas rester, il ne peut pas venir. »

Il semble évident qu’une relation existe entre le témoin et une des entités.

Dans le texte, d’autres indices font référence directement à cette relation .

Relation étrange, le témoin, Nathalie « perçoit » que cette entité est »son ami », comme si, sans l’exprimer elle retrouvait une connaissance.

Il se peut que ce contact soit le résultat d’une sympathie du témoin pour une entité moins agressive que les autres, plus douce, ce serait une réaction de défense, de survie.

Cependant la phrase que j’ai soulignée (elle ne l’est pas dans le texte original) implique un sentiment plus intense qu’un sentiment rassurant durant « l’examen médical ».

Sentiment sans doute d’une subtilité incroyable, de sorte que ni le témoin, ni l’entité ne peuvent l’exprimer vraiment.

Il y a une information touchant à cette connaissance de l’autre qui est en partie refoulée de la conscience.

Des exemples identiques sont cités dans le livre de J. Mack « Enlevés par les extraterrestres ».

« Je suis triste, je pense à lui parce qu’il est triste… », le témoin perçoit l’émotion de l’entité et elle la partage.

« Il m’appelle, il ne veut pas que je parte », comment le témoin peut-elle percevoir cet appel ? Et très important, pourquoi l’entité appelle-t’elle ?

Il existe une « connexion » entre Nathalie et l’entité, elle perçoit distinctement le message.

Et l’entité à parfaitement identifié le témoin.

« .. il ne veut pas que je parte… », que se passe-‘il ? L’entité est identifiée par le témoin comme étant « un mâle » ; « il ne .. ». S’il ne veut pas de cette séparation qu’elles en sont les raisons ?

« ..Il ne veut pas que je parte, je ne peux pas rester, il ne peut pas venir », nous sommes devant de multiples questions.

Le témoin sait que l’entité souhaite qu’elle reste près de lui, comment le sait-elle ?

Quels motifs de vouloir « garder » une humaine ?

Le témoin sait qu’ils vivent dans des « mondes différents », puisqu’elle affirme, que l’entité ne peut la « suivre » et qu’elle ne peut rester avec « lui ».

Comment a-t’elle cette connaissance ? Comment en a-t’elle conscience ???

Deux « intelligences » se rencontrent, ou se retrouvent, car il semble bien qu’ils se connaissaient avant le rapt de Nathalie, mais elles appartiennent à des « plans   différents », et cependant possèdent les mêmes consciences… La conscience du témoin et de l’entité semblent bien fonctionner de façon identique. Il existe entre eux un échange d’informations de sentiments.Ainsi le témoin perçoit la souffrance de l’entité, elle la partage, mais sait qu’ils vivent dans des « trames » différentes….

Cet incident fait apparaître un élément important.

Nathalie et l’entité se « connaissent », le témoin vit en région parisienne. L’entité vient d’un ailleurs.

Comment peuvent-ils se connaître ? Cette connaissance est intemporelle ! Ils ne peuvent s’être connu qu’ailleurs…. et pas dans la vie terrestre du témoin.

Cette proximité affective est antérieure à l’ incident de 1997. Elle résulte d’une rencontre, d’une connaissance qui a précédé cet incident.
Comment Nathalie en a-t’elle la mémoire ?

Plusieurs phrases sont significatives.

j’ai envie qu’il vienne, j’ai envie de pleurer

il est à côté de moi

Comment comprendre ce qu’il s’est passé lors de cet « incident » ? Abduction qui semble diffèrer du scénario « habituel ».

Faut-il penser que Nathalie et l’entité se sont rencontrés lors de précédentes abductions ?

Cela est possible, cette éventualité justifie-t’elle une relation si forte ?

Faut-il adhérer aux thèses de C. Malanga qui suppose que les humains portent en eux une part de mémoire aliène ? Cela expliquerait que la mémoire aliène de Nathalie connaissait l’entité précédemment.


Si la mémoire est « une reconstruction » permanente du passé tournée vers le futur, la mémoire « aliène » de Nathalie s’est réactivée instantanément.

Comment expliquer la conscience que les deux protagonistes ont de l’autre??

Les deux ont décodé le message envoyé. Ils ont traité de façon identique les informations transmises par l’autre. Un ensemble d’activités cognitives communes, ont permis l’intégration de cette connaissance (« reconnaissance »)

Des éléments de cette abduction sont étonnant. Une « civilisation aliène » qui aurait une science et une technologie bien plus avancée que la nôtre utiliserait encore des chemises de patient comme dans les hôpitaux actuellement, des seringues, un goutte à goutte, une boîte de serviettes en papier….

Ces détails qui semblent « incohérents » font partie des aberrations communes a de nombreux témoignages d’abduction…

La « pose » d’une petite plaque de métal dans la nuque de Nathalie, attesté par les enquêteurs qui ont vu la trace de l’insertion, puis l’insistance à gratter dans son nez puis son oreille pour « enlever » quelque chose qu’elle ne voit pas, donc ne peut identifier, semble indiquer la pose d’un implant et l’extraction d’un autre plus ancien.

Ce témoignage de cette abduction pose des questions.

Une civilisation extraterrestre franchit-elle des distances infinies pour juste insérer un « implant », puis disparaître ???

Cet implant a-t’il une utilité pour les entités, pour le témoin ou les deux ?

Cette abduction et la pose de l’implant sont-ils la manifestation d’un phénomène unique ou un élément d’un schéma plus vaste ? 

Si c’est le cas, l’interrogation qui suit est de se demander si la vie humaine, terrestre de Nathalie, et de tous les abductés se limite à une « anecdote temporaire » ou fait partie intégrante d’une trame beaucoup plus vaste.

Le témoin connaissait une des entités, l’entités connaissait Nathalie…

Il y a un mystère insondable. Peut-on imaginer que les abductés possèdent en eux, de façon inconsciente, une sorte de logiciel qui ne leur appartient pas mais appartient à «cette civilisation aliène » ?

Les abductés possèderaient une « mémoire aliène » dissimulée, et passive. Les abductions seraient une sorte de « réglage », de vérification du fonctionnement de ce logiciel, de cette mémoire passive.

Mémoire occultée est quelque fois « réactivée » ; Nathalie se souvient qu’une des entités est une connaissance. Il y a de nombreux cas identiques dans les livres de J. Mack, et d’autres.

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